vendredi 22 novembre 2013

De la joie à partager

Quel parent ne veut pas inculquer le partage comme valeur fondamentale à ses enfants?
Je crois que de façon naturelle, certaines personnes sont plus enclines à penser aux autres. Zach en est certainement, sans trop qu'on sache pourquoi. Si on sort avec Zach, sa première réaction, c'est de penser aux autres, à ce qui ferait plaisir à son frère et ses sœurs. Par exemple, récemment au salon du livre, il a déniché des livres de princesses, de chats, de danse. Mis la main sur les Geronimo Stilton que son frère n'a pas encore mais quand on lui a fait remarquer que lui n'avait pas encore de livres et demandé ce qu'il voulait, il nous a répondu: "je sais pas, je n'ai pas encore regardé."
Je trouve important d'apprendre à mes enfants le partage. Quelques fois par an, on leur demande de choisir des jouets dans la salle de jeux pour donner à des amis ou lors de campagne pour les enfants défavorisés. C'est important pour nous qu'ils apprennent à "passer au suivant".
Forcément, vivre en meute force l'apprentissage du partage. C'est assez difficile d'avoir l'exclusivité sur une chose. Et on a toujours refuser qu'un jouet soit la propriété d'un enfant même si c'est un cadeau qu'il a reçu. On demande le respect des autres, de comprendre, par exemple, qu'il vient de le recevoir, qu'il va en profiter un peu et le partager ensuite. On explique dans l'autre sens, qu'ils ont aussi envie de jouer avec les cadeaux des autres, d'où l'importance de comprendre que frères et sœurs ont envie du jouet et de le partager. Mise à part quelques accrochages que nous jugeons normaux, ils apprennent après tout, ça se passe très bien.
On essaie aussi de leur montrer le partage du temps et des connaissances. On estime que ce bout là est tout aussi important. Donc, on demande au grand d'aider son frère dans ses devoirs et petits travaux. De prendre le temps de montrer à compter, de s'aider entre eux; d'aider à attacher les bottes, à zipper le manteau. On leur demande de participer quand les clubs où ils sont ont besoin de bénévoles pour des tâches qu'ils sont capables d'accomplir. C'est aussi ça donner au suivant. 
J'étais très heureuse, lors de la réception du premier arrivage d'œufs Kinder, de constater qu'un de leurs premiers réflexes, a été de demander s'ils pouvaient en donner à leurs amis. Ils étaient très heureux de faire la livraison le soir même au fur et à mesure que les amis arrivaient à l'activité où ils étaient. 
Souvent, le partage, c'est dans les choses simples. Ce week-end, nous prendrons le temps, avec chacun de nos enfants de faire une carte dans la cadre de la campagne De la joie à partager de Kinder ,qui pour la deuxième année s'associe au Réseau Enfants-Santé dans le cadre de cette campagne. Pour chacune des cartes de souhaits qui seront créées via la page Facebook de Kinder Canada,  1$ sera remis au Réseau Enfants-Santé. Vous pouvez vous aussi vous rendre sur leur page et les aider à atteindre leur objectif de remettre 25 000$ pour la période des fêtes. De plus, les 10 000 premières personnes à faire une carte de souhaits recevront un bon d'échange pour un emballage gratuit de Mini Eggs de Kinder.  La meute est impatiente d'aller créer des cartes!
J'espère que mes enfants sachent partager sans être naïfs. Qu'ils apprennent à faire la part des choses, à voir que sans tout avoir, ils sont choyés. Que certains le sont moins. Je veux aussi qu'ils sachent que semer le bonheur, ça rend heureux.

Mise à jour 2 novembre: Les coupons d'échanges se sont écoulés très rapidement mais ce matin 18 000$ étaient déjà amassés. Merci de quand même créer une carte et aider à atteindre l'objectif de 25 000$
« Divulgation : Je participe au programme des mamans de KinderMD et je reçois quelques avantages particuliers en échange. Les opinions exprimées sur ce blogue sont les miennes. »

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire